dimanche 31 août 2008
vendredi 29 août 2008
Juste pour le fun
Avant de quitter un endroit, on a toujours une liste de trucs à faire. La mienne était très banale. Jusqu'à ce que Monique s'en mêle.
Du coup, à la fin de la liste, il y avait : "Penser à se faire Monique avant de partir".
Et qui fut dit fut fait.
Nan, je suis pas partisane de la violence. Je lui ai juste rivé son clou, tchac, tchac, tchac, comme il fallait avant de partir.
Faut dire qu'elle a poussé le bouchon un peu loin, Monique : Elle nous a INTERDIT de dépendre la crémaillère. Et pas parce qu'elle nous apprécie tellement qu'elle craint le jour tant redouté de notre départ.
Nan.
C'est parce que "Tu comprends, on reçoit des hôtes venus chercher le repos et le silence. Alors, tu ne peux pas faire de fête".
Et on est pas voisines directes hein, il y a une maison et 2 jardins qui nous séparent.
Mais bon, quand on propose à tout le quartier de tondre le même jour mensuel à la même heure, on doute de rien.
Sainte Monique priez pour nous et le repos estival de nos âmes.
Du coup, je te me l'ai coincée sur le trottoir, histoire de voir ce qu'elle avait dans le vendre, la Monique.
Sur un ton tout à fait serein (nanana, c'est pas vrai, je parlais d'une voix nasillarde et haut perchée, avec un débit digne de la fonte à Gavarnie), je lui ai dit qu 'avant de brandir le respect de la loi (sur le tapage nocturne), ferait mieux de l'appliquer, la loi. Qu'on avait des droits mais aussi des devoirs, dont celui de respecter la liberté des autres. Et que, beaucoup plus concrètement, loger des hôtes c'était une vraie source de revenu, que construire des serres (bio) pour les nourrir, c'était soumis à déclaration de travaux, alors, que de me menacer des flics à 22 heures, c'était pas très finaud.
Et en plus on pouvait aussi être très méchant tout en respectant la loi : par exemple passer mon terrain, juste au dessus de ses serres bios, au rond*up. Rien d'illégal là dedans. C'est juste bête et méchant.
Et bah Monique, depuis, elle ne m'emmerde plus.
Du coup, à la fin de la liste, il y avait : "Penser à se faire Monique avant de partir".
Et qui fut dit fut fait.
Nan, je suis pas partisane de la violence. Je lui ai juste rivé son clou, tchac, tchac, tchac, comme il fallait avant de partir.
Faut dire qu'elle a poussé le bouchon un peu loin, Monique : Elle nous a INTERDIT de dépendre la crémaillère. Et pas parce qu'elle nous apprécie tellement qu'elle craint le jour tant redouté de notre départ.
Nan.
C'est parce que "Tu comprends, on reçoit des hôtes venus chercher le repos et le silence. Alors, tu ne peux pas faire de fête".
Et on est pas voisines directes hein, il y a une maison et 2 jardins qui nous séparent.
Mais bon, quand on propose à tout le quartier de tondre le même jour mensuel à la même heure, on doute de rien.
Sainte Monique priez pour nous et le repos estival de nos âmes.
Du coup, je te me l'ai coincée sur le trottoir, histoire de voir ce qu'elle avait dans le vendre, la Monique.
Sur un ton tout à fait serein (nanana, c'est pas vrai, je parlais d'une voix nasillarde et haut perchée, avec un débit digne de la fonte à Gavarnie), je lui ai dit qu 'avant de brandir le respect de la loi (sur le tapage nocturne), ferait mieux de l'appliquer, la loi. Qu'on avait des droits mais aussi des devoirs, dont celui de respecter la liberté des autres. Et que, beaucoup plus concrètement, loger des hôtes c'était une vraie source de revenu, que construire des serres (bio) pour les nourrir, c'était soumis à déclaration de travaux, alors, que de me menacer des flics à 22 heures, c'était pas très finaud.
Et en plus on pouvait aussi être très méchant tout en respectant la loi : par exemple passer mon terrain, juste au dessus de ses serres bios, au rond*up. Rien d'illégal là dedans. C'est juste bête et méchant.
Et bah Monique, depuis, elle ne m'emmerde plus.
Publié par
Daphnénuphar
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23:57
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Libellés : ça m'énerve, les gens
mercredi 27 août 2008
lundi 25 août 2008
Le déménagement, jour 1, durée une semaine.
Bon, cela aurait pu aussi commencer comme ça :
- He! Elles sont où les culottes propres là ? J'les trouve pas...
- Bah, dans les cartons !
- Comment ça dans les cartons ?
- ...
- HEY ! Je mets quoi sous ma jupe pendant une semaine moi ? RIEN ?
- OH, C'EST BON HEIN!!! CA VA PAS TE TUER DE METTRE LA MÊME CULOTTE TOUTE LA SEMAINE, SI ? COMMENT ON FAIT NOUS, HEIN ?
- Et à la fin de la semaine, je la retourne, c'est ça?
Sauf qu'en fait, non : quand je suis arrivée, tous les cartons étaient faits, rangés, triés par pièces et prêts à partir. Et en plus, les habits propres sont prévus pour tous les jours qui restent.
Moi je vous le dis, mon amoureux, c'est le king du déménagement...
- He! Elles sont où les culottes propres là ? J'les trouve pas...
- Bah, dans les cartons !
- Comment ça dans les cartons ?
- ...
- HEY ! Je mets quoi sous ma jupe pendant une semaine moi ? RIEN ?
- OH, C'EST BON HEIN!!! CA VA PAS TE TUER DE METTRE LA MÊME CULOTTE TOUTE LA SEMAINE, SI ? COMMENT ON FAIT NOUS, HEIN ?
- Et à la fin de la semaine, je la retourne, c'est ça?
Sauf qu'en fait, non : quand je suis arrivée, tous les cartons étaient faits, rangés, triés par pièces et prêts à partir. Et en plus, les habits propres sont prévus pour tous les jours qui restent.
Moi je vous le dis, mon amoureux, c'est le king du déménagement...
Publié par
Daphnénuphar
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15:29
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