mardi 28 avril 2015

fait moche, fait moche, mais...

c'est pas grave, parce qu'à Quiberon, il faisait beau!








dimanche 26 avril 2015

# 52 x merci les iles féroés

Je crois que ça a été mon premier grand événement.
Je suis partie 3 mois aux Féroé faire du terrain pour mon mémoire de maîtrise (oui, je suis de la génération d'avant les masters...).
3 mois paumée sur une île, une île paumée à mi distance entre l'Islande et les Shtetlands, où il y avait davantage de moutons que d'habitants. Un grand défi.
J'ai adoré.


dimanche 12 avril 2015

# 52 x merci mes deux oreilles

Et le reste de mon coeur (c'est un lapsus, je voulais écrire corps mais je garde coeur!) d'avoir été entièrement dédié à l'attente de ton premier cri.



les autres participants c'est là.

# 52 x merci d'avoir regardé discrètement au dessus de mon épaule

Et de m'avoir fait envoyer par la poste en colis surprise ce joli plaid pour Adèle.



Les autres participants, c'est .

vendredi 3 avril 2015

redécouvert par hasard

Et vraiment j'aime bien Ronan Luce




jeudi 2 avril 2015

Faire le dos rond

Ceux qui disent que c'est le premier pas qui compte ne savent pas toujours que ceux qui suivent peuvent être de plus en plus difficile. De pas en pas. Comme une suite exponentielle. Pas de celles qui additionnent. De celles qui multiplient.

La reprise du boulot.
Les maladies infantiles.
Les nuits hachées.
Le changement d'heure.
Les vertiges.
La pluie.
Le corps qui chancelle.
L'esprit qui doute.
La fatigue qui plombe tout.

Pas facile de dire merci. Pas envie. Pas le temps. Métro boulot dodo. Sans le dodo. Et continuer.

Et puis, et puis,

La fierté d'avoir réussi à mener avec brio le premier gros rendez-vous de boulot (600 gamins qui font des sciences en même temps, qui font faire de sciences aux autres, de la moyenne section au BTS, c'est pas rien.),
Le rhume, la toux, la gastro et le mal de dos qui finissent par partir
Les nuits moins hachées, du coup...
Le bonheur appréciable d'avoir le sentiment de finir le boulot plus tôt, quand il fait jour
La tête qui tourne toujours
Le jardin qui aime rien tant que ce soleil et cette pluie qui se succèdent sans cesse.
Le corps qui tient,
L'esprit qui se reprend,
La fatigue qui laisse la place à une forme de léthargie de fin d'hibernation.

Bref.

Sortir de l'hiver quoi.