... jusqu'au bout!
Pourtant, on m'avait prédit une arrivée possible de cette petite dernière dans la nuit de samedi à dimanche ou de dimanche à lundi.
Peanuts. Le terme, c'est le 14 septembre, un point c'est tout. Avant l'heure c'est pas l'heure.
Elle est au chaud et a décidé de profiter du giron de sa mère jusqu'au bout.
Et ça me ravit. Après tout, c'est la dernière fois que je suis si nombreuse. Alors moi aussi j'en profite pour essayer de graver bien au fond de ma mémoire cette sensation si particulière d'héberger un bébé dans son giron.
Et puis tout est prêt. Enfin, tout ce que je juge essentiel est prêt : un endroit où dormir, des vêtements propres et rangés, des couches et un siège auto pour la transporter. Rien de plus.
Ma valise est également prête ainsi que celle de ces soeurs.
La maison est propre.
J'ai absorbé 4 ans de retard de linge à laver. Une première.
Côté naissance, mon projet de naissance physiologique attend sagement sa mise en oeuvre en équipe : le bébé, moi, le papa, la sage-femme et l'obstétricien.
Je crois que je n'ai jamais été aussi préparée.
Ni aussi zen.
lundi 8 septembre 2014
Deux en un...
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8 commentaires:
des bises.On attend la suite avec patience, donc, nous aussi ;-)
Profite d'être deux encore un peu! Et c'est drôlement cool d'être zen, prête, pour la naissance. C'était mon état d'esprit pour la naissance de Suzanne. J'aurai même pu accoucher à la maison... Mais nous avons joué la sécurité (et bien fait, j'ai de nouveau fait une rétention placentaire) et la naissance a été magnifique!!!
ça se sent que tu es zen. Quel bonheur !
Mille pensées positives pour ces moments à 2 puis à 1 + 1.
Si la maison est propre, c'est que tu es prête… Il paraît que c'est dans notre instinct de faire le ménage juste avant d'accoucher ! Ou alors c'est de faire le ménage qui déclenche les accouchements ;-))
@ bellzouzou et Margot : merci!
@ Anne : pour maé; j'aurais pu accoucher chez moi. Evidemment, pour cette dernière naissance, je voudrais qq chose qui soit le plus naturel possible...mais je suis, comme toi, prudente! donc l'idée c'est d'aller au dernier moment à la clinique. Après, il a l'idée qu'on s'en fait et ce qui va se passer!
@ agnès : en tout cas, c'est pas les 4 heures de vide grenier en pleine chaleur qui ont déclenché quoique ce soit!!!
On est le douze... jusqu'au bout tu as dit...alors tu doit être en train de caresser ton ventre tout doucement en profitant ce ces derniers instants magiques où tu es deux en une !
Tu fais remonter des souvenirs...
Bonne rencontre à toi !
Ah, on y est presque... Je ne te souhaite pas bon courage: tu n'en as pas besoin, et puis, si ça se trouve, tu ne liras ce commentaire qu'après l'heureux dénouement!
Chouette pour la zenitude... et on est le 14, alors ?! Des bises !
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