Je l'ai attendu toute la soirée. Oh, bien sûr, ça n'était pas conscient. C'était juste comme quand vous savez que vous avez oublié un truc, mais vous savez pas quoi. ça ne vous empêche pas de continuer à faire la bouffe, donner le bain du hanneton, plier le linge. C'est juste que, au fond du cerveau, y'a quelque chose là, quelque chose qui attend, qui guette...
Mais rien.
En même temps, je pense pas que la paradis, s' il existe (ce dont je doute), soit connecté à l'adsl. Alors, j'ai attendu toute la soirée. Puis je me suis couchée. Puis j'ai pleuré.
Avant, tous les dimanches soirs, j'avais un coup de fil de ma mère. La semaine, le temps, mon hanneton, ma vie dans mon bled, ma vie tout court... J'aimais bien.
Et ça me manque.
Mais rien.
En même temps, je pense pas que la paradis, s' il existe (ce dont je doute), soit connecté à l'adsl. Alors, j'ai attendu toute la soirée. Puis je me suis couchée. Puis j'ai pleuré.
Avant, tous les dimanches soirs, j'avais un coup de fil de ma mère. La semaine, le temps, mon hanneton, ma vie dans mon bled, ma vie tout court... J'aimais bien.
Et ça me manque.
5 commentaires:
Je comprends très bien. J'envoyais à ma grand-mère une p'tite carte postale à chacun de mes voyages, je me souviens comme si c'était hier de la première carte écrite et prête à être postée... après son départ. La confusion, la tristesse et le vide quand j'ai réalisé que cela n'avait plus lieu d'être.
un bien joli billet qui me touche beaucoup, Daphné; je t'embrasse.
@ myriam et bellzouzou : des fois c'est dur. Mais je suis contente de pouvoir me délester sur mon blog. Je suis contente aussi des messages que vous m'avez laissés.
Gros bisous
je pense a toi....
bisous
Enregistrer un commentaire