lundi 15 septembre 2008

Lachez le fauve! (le retour)

On trouve toujours plus fort que soi.

Ce matin, à l'heure où blanchit la campagne, notre lion en a fait la (douloureuse) expérience.

On ne peut pas gagner à tous les coups...

Un bout d'oreille en moins plus tard, j'espère que nous n'allons pas ajouter à la liste de nos connaissances nantaises la tronche du véto du coin...

4 commentaires:

Anonyme a dit…

C'est la p'tite grise chartreuse, la méchante ?

Sinon, je pense que Sieur Sapic mérite une photo sur ton blog avec en légende : "Loire-Atlantique, défaite face aux indigènes, sept. 2008".
Si tu veux, on peut lui confectionner une médaille en croquettes ?
Pauv' meunou ....

Anonyme a dit…

ben il est peut être sympa, le véto ? :-)
eddie

Ma'cha a dit…

aïe ! j'espère qu'il va comprendre que son territoire est un peu restreint pour le moment...

Daphnénuphar a dit…

@ mériem : nan, la petite chartreuse, il lui a mis son coup de boule mieux qu'un zidane! le gros méchant, c'est un autre chat, plus gros et grand que lui. Si, ça existe...

@ eddie : hum, j'espère que ses tarifs le sont aussi!!!

@ ma'cha : c'est pas gagné.